Début 2024, par le biais de son journal VIVRE, la FREE a lancé un concours pour encourager des chrétiennes et chrétiens, jeunes ou moins jeunes, à entrer dans leur vocation. Les quatre gagnants, trois garçons et une fille dans la vingtaine, sont aujourd'hui connus. Chacune et chacun recevra une bourse de formation en vue de ses études à la HET-PRO ou à la Start Up Ministries.

C’est probablement le premier candidat à l’élection présidentielle américaine à être visé par plusieurs procédures judiciaires. Toutefois, Donald Trump recueille à nouveau le suffrage d’une majorité d’évangéliques blancs. Éléments d’explications avec Matthieu Sanders, pasteur baptiste à Paris. Ce Franco-américain est diplômé en sciences politiques et en théologie. [Cet article a d'abord été publié dans Vivre (www.vivre.ch), le journal de la Fédération romande d'Églises évangéliques.]

Le dernier numéro du journal Vivre est arrivé dans les boites aux lettres. Il contient un dossier intitulé : « Supermarché du spirituel. Quelle réponse face à une société en quête de sens ? » Ce dossier propose des pistes pour montrer comment une relation forte, apaisée et bienfaisante avec Dieu fait une différence. Vous trouverez aussi un texte à propos de la prière de consentement, celle qui permet, dans des circonstances difficiles, d’intégrer la volonté de Dieu.

Pour la première fois, l'Institut de recherche gfs-zürich a réalisé un sondage auprès de la population suisse romande pour évaluer la manière dont celle-ci perçoit les chrétiens évangéliques. Cette étude menée en 2024 a été relayée et commentée par le Réseau Évangélique Suisse (RES) dans un communiqué du 27 juin dernier.

Trois capitaines aumôniers issus de la FREE ont été nommés le 14 juin dernier à Soleure. Tous les trois ont la conviction qu’un témoin du Christ doit être disponible, à l’écoute, capable de servir son prochain, y compris auprès des militaires.

La fin de vie est souvent difficile, avec selon les cas d’importantes souffrances ou divers types de démence qui peuvent donner à la personne comme à ses proches l’impression qu’elle se perd. Vaut-il alors mieux hâter la fin, avoir la possibilité de décider de mettre un terme à son existence ? Ce courrier des lecteurs du pasteur Jean-René Moret, de l'Eglise évangélique de Cologny (FREE), est d'abord paru le 12 juin dans la Tribune de Genève.