Qui n’a jamais espéré pouvoir échapper, enfin, à une situation difficile ? Face à une blessure secrète, qui n’en vient pas parfois à douter du retour de la lumière ? Qui ne rirait de la fin stupéfiante d’une rocambolesque aventure ?
Avec son premier livre On finira bien par s’en sortir…, Paul Dubuis reprend quatorze événements forts de son parcours de vie et leur donne ce je ne sais quoi qui en font des récits à la lecture facile et agréable. La justesse d’un mot, la précision d’une image, la vérité d’une émotion forte font que Luc, le personnage principal, ne peut cacher que son identité littéraire masque à peine la vraie, ni que son nom est d’emprunt !
Un auteur qui soigne un parler vaudois
Paul Dubuis plonge ses racines dans le Pays-d’Enhaut, une vallée des Préalpes de Suisse romande. Il y a commencé une carrière d’instituteur et s’y est marié. Appelé par la suite en tant que diacre dans l’Eglise réformée de Bâle, il s’engagera ensuite comme pasteur évangélique à Lavigny sur la Côte lémanique et enfin dans l’Eglise de la Rochette à Neuchâtel (FREE). Parvenu à la retraite, il est revenu avec sa femme Simone s’établir en terre vaudoise, à Aubonne. Chroniqueur dès 1960 pour des journaux locaux, Paul Dubuis a rédigé quantité d’articles et de reportages. (c)
Paul Dubuis, On finira bien par s’en sortir…, Saint-Prex, Je Sème, 2016, 168 p. Prix : 25.- + frais de port. A commander ici.