Droit de mourir, dangereuse liberté
La fin de vie est souvent difficile, avec selon les cas d’importantes souffrances ou divers types de démence qui peuvent donner à la personne comme à ses proches l’impression qu’elle se perd. Vaut-il alors mieux hâter la fin, avoir la possibilité de décider de mettre un terme à son existence ? Ce courrier des lecteurs du pasteur Jean-René Moret, de l'Eglise évangélique de Cologny (FREE), est d'abord paru le 12 juin dans la Tribune de Genève.