Samedi dernier, un chanteur suisse et un médecin congolais de renommée internationale ont lancé un collectif qui invite à respecter les femmes. Au travers d’une soirée chargée en émotions, Philippe Decourroux et Denis Mukwege ont appelé à changer le monde des relations entre femmes et hommes. Notamment en signant une charte.
La Fédération évangélique vaudoise va de l’avant. Près des trois quarts des Eglises membres ont signé la déclaration liminaire proposée par l’Etat de Vaud. Le dépôt de cette déclaration devrait intervenir d’ici au printemps.
Lors de la rencontre générale de la FREE, le 25 novembre 2017 dans les locaux de l’Eglise évangélique « Les Marronniers » à Rolle, il a entre autres été question de statistiques. La manière de participer à la vie d’Eglise s’est, semble-t-il, passablement modifiée durant cette dernière décennie.
La prière est une pratique religieuse largement répandue. Dans un livre récemment paru, le pasteur Claude Vilain livre le fruit d’une vingtaine d’années de réflexion autour d’une pratique qui est au coeur de la foi chrétienne. Il en parle dans le cadre de l’émission Ciel ! Mon info.
Au travers du Collectif I Respect Women, Philippe Decourroux lance un mouvement d’hommes pour le respect de la femme. L’idée est de sensibiliser les hommes au regard qu’ils posent sur les femmes. Respecter la femme, c’est amener la réconciliation dans la famille et garantir la solidité des sociétés. Pour lancer ce mouvement, ce collectif organise le 25 novembre à Ambilly près de Genève une conférence avec le Dr congolais Denis Mukwege, « l’homme qui répare les femmes ».
Son engagement bouleverse de New-York à Paris, en passant par Strasbourg et Bruxelles. A la suite de Jésus de Nazareth, le Dr Denis Mukwege prend soin des souffrants. Il sera en conférence samedi soir à Ambilly près de Genève.
Il est chanteur pop-rock. Il vient de sortir un documentaire "Kivu: entre ciel et enfer". Philippe Decourroux présente son film dans l'émission Ciel! Mon info. Parcours autour d'une visite en République démocratique du Congo auprès de Denis Mukwege, le gynécologue-obstétricien qui "répare les femmes".
Depuis plusieurs années, le chanteur Philippe Decourroux plaide la cause des femmes victimes du trafic humain et de violences, notamment dans des contextes de guerre civile. Bien avant l’affaire Harvey Weinstein, il a conçu l’idée d’un collectif d’hommes qui se mobilisent contre de telles violences. Présentation de ce collectif à Ciel ! Mon info.
Les 8 et 9 décembre prochains, le professeur Henri Blocher viendra animer une session du FREE COLLEGE sur l’identité des évangéliques. Actuellement, cette manière de libeller son identité chrétienne fait problème à nombre d’évangéliques en Amérique du Nord. Lafree.ch vous propose de faire le point sur ce débat. L’occasion aussi d’alimenter la réflexion peu avant la venue d’Henri Blocher en Suisse romande.
Avec 2200 participants, la deuxième édition de la journée One’, le 18 novembre 2017 au Forum Fribourg, a rassemblé les évangéliques de Suisse romande autour de ce qui est essentiel dans la foi chrétienne. Lieu de rencontre privilégié, elle a également témoigné d’une véritable recherche d’unité dans la famille évangélique.
Plusieurs médias se mobilisent pour couvrir le grand rassemblement des évangéliques romands. Phare FM Romandie propose, de 9h à 19h30, de suivre l’événement sur le DAB + ou sur le web. Deux plénières seront diffusées en direct ainsi que les animations sur place durant les intermèdes.
Le samedi 18 novembre 2017, le Forum Fribourg accueillera pour la deuxième fois One’, le rassemblement des évangéliques romands. Différents invités traiteront du thème : «Quintessence – En quête d’essentiel». Construit autour des ingrédients qui ont fait le succès de la première édition, One’2017 espère rassembler 2500 personnes grâce à l’implication de nouveaux partenaires comme la Ligue pour la lecture de la Bible ou l’ONG humanitaire Medair.
Marc Badoux en est convaincu et le souligne volontiers : Dieu s’intéresse à la sphère professionnelle du chrétien. Mieux : il veut l’y faire grandir. Rencontre avec celui qui sera l’un des orateurs de One’.
Yaëlle et Nicolas Frei, 30 et 27 ans, sont mariés et parents. Durant leur enfance, ils ont été agressés par des références à la sexualité qui n’étaient pas adaptées à leur âge. Cela les a conduits à la pornographie, puis à une libération. Ils comptent parmi les intervenants des One’Talks le 18 novembre prochain au Forum Fribourg.
Le masculinisme, qui revendique une vision machiste de ce qu'est un homme, monte en puissance… 
Abandonner la voiture et emménager dans une coopérative d’habitation ?... Deux couples de l’Eglise évangélique (FREE) de Meyrin ont fait ces choix qu’ils estiment porteurs de vie. « Le rythme plus lent du vélo a vraiment du sens pour moi », témoigne Thiéry Terraz, qui travaille pour l’antenne genevoise de Jeunesse en mission. « Je trouve dans le partage avec mes voisins ce que je veux vivre dans ma foi », lui fait écho Lorraine Félix, enseignante. Rencontres croisées. [Cet article a d'abord été publié dans Vivre (www.vivre.ch), le journal de la Fédération romande d'Eglises évangéliques.]
Vivian symbolise l’espoir pour tous ceux que la vie malmène. Aujourd’hui, cette trentenaire tanzanienne collabore comme assistante de direction au siège de Compassion à Arusha, en Tanzanie. Mais son parcours de vie avait bien mal débuté… Nous avons rencontré Vivian au bureau suisse de l’ONG à Yverdon, lors de sa visite en mars dernier. Témoignage.
Elle a 19 ans, étudie la psychologie à l’Université de Lausanne, et vient de faire un mois de bénévolat auprès de jeunes de la rue à N’Djaména. Tamara Furter, de l’Eglise évangélique La Chapelle (FREE) au Brassus, a découvert que l’on peut être fort et joyeux dans la précarité.
Nel Berner, 52 ans, est dans la dernière ligne droite de ses études en théologie à la HET-PRO. Pour elle, la Bible est favorable au ministère féminin. Et les communautés doivent reconnaître avoir besoin tant d’hommes que de femmes à leur tête.
Lors de la Rencontre générale d’avril 2025, la question de l’adaptation des Statuts de la FREE aux nouvelles pratiques a été évoquée. Les Statuts n’ont pas grand-chose à voir avec la vie spirituelle, mais ils sont indispensables pour lui permettre de s’épanouir.
La seconde Rencontre Générale de la FREE pour 2024 s'est tenue le 23 novembre à l'Eglise évangélique des Amandiers (Lavigny). Les délégués des Eglises ont accepté le budget 2025 et la modification d'un article des statuts, les membres de la direction ont donné des nouvelles de leur secteur et Michel Faggion a présenté la mission de la FLP. Compte-rendu.
La dernière Rencontre générale de la FREE a montré que sa situation financière est relativement saine. Elle a aussi montré comment la fédération remplit des tâches indispensables aux Eglises, et que celles-ci ne pourraient par remplir à titre individuel.
Plus grande fédération d’Eglises évangéliques en Suisse romande, la FREE offre un cadre de travail dynamique et défiant, en lien étroit avec les autres acteurs du milieu chrétien évangélique romand, suisse et international. Dans ce cadre, la FREE recherche un·e responsable des finances.
En partant de la notion de pseudo-communauté je ne cible pas en[…]
Cette question insolite pour un européen, ne l'est peut-être pas pour un[…]
Il n’y a pas si longtemps que cela, le mot œcuménisme était[…]
Des débats qui annoncent des évolutions En France, jusqu’à présent, l’euthanasie et[…]
